Fraise, vanille, chocolat pour les classiques. Schtroumpfs, Nutella ou Bubble Gum pour les plus audacieux. La glace, véritable compagnon de l’été, est-elle devenue incompatible avec les enjeux environnementaux ? Derrière cette question anodine, se cache un enjeu réel : la consommation électrique nécessaire pour produire, transporter et stocker les crèmes glacées est considérable.

Une glace qui fait chauffer la planète

Alors que vous dégustez une glace caramel beurre salé les pieds dans le sable ou au bord de la piscine, l’énergie nécessaire pour créer et conserver cette douceur ne vous vient probablement pas à l’esprit. Pourtant, derrière cette gourmandise, se cache un impact environnemental certain.

La fabrication industrielle des glaces nécessite d’importantes quantités d’énergie, tant pour la production que pour le maintien des températures très basses indispensables à leur conservation. Une fois produites, ces glaces doivent être transportées à froid, parcourant parfois des milliers de kilomètres avant d’atteindre les glaciers ou les points de vente. Ce transport réfrigéré consomme une grande quantité de carburant, augmentant ainsi l’empreinte carbone des glaces.

Ensuite, vient le stockage des glaces, qui requiert des congélateurs puissants fonctionnant en continu. Que ce soit dans les supermarchés, les points de vente ou chez les glaciers, ces équipements de réfrigération représentent une consommation électrique non négligeable, contribuant encore davantage au coût énergétique global des crèmes glacées.

Avec l’augmentation des prix de l’électricité, les professionnels du secteur cherchent à réduire leurs coûts énergétiques en trouvant des contrats d’électricité avantageux et en recherchant de l’électricité pas chère. Choisir le meilleur tarif de l’électricité permet non seulement de diminuer les dépenses, mais aussi de favoriser des sources d’énergie renouvelable, réduisant ainsi l’empreinte carbone globale de l’industrie glacière. Adopter ces solutions énergétiques plus durables aide à concilier plaisir estival et respect de l’environnement.

Les alternatives écologiques pour se rafraichir en été

Parce qu’on peut se rafraîchir sans crèmes glacées, voici quelques alternatives plus respectueuses de l’environnement. Tout d’abord, préparer des glaces maison est une excellente manière de savourer une douceur glacée tout en contrôlant sa consommation énergétique. En utilisant des appareils économes en énergie et en choisissant des fruits locaux et de saison, vous pouvez réduire considérablement l’empreinte carbone de vos desserts.

Les fruits locaux sont une autre option rafraîchissante et durable. Consommer des fruits de saison comme les melons, les pêches ou les fraises, cultivés à proximité, permet de limiter l’impact environnemental lié au transport. Contrairement aux fruits exotiques comme les noix de coco ou les ananas, les produits locaux ne nécessitent pas de longs trajets en avion ou en bateau, ce qui réduit les émissions de CO2.

Les boissons rafraîchissantes maison sont également une alternative intéressante. Préparer des infusions glacées, des eaux aromatisées avec des herbes fraîches, ou des smoothies avec des fruits locaux est simple et écologique. Ces boissons nécessitent peu d’énergie et peuvent être préparées en grande quantité, offrant une hydratation saine et respectueuse de l’environnement.

Enfin, les glaces artisanales locales sont à privilégier si vous souhaitez acheter des glaces. Les producteurs locaux utilisent souvent des ingrédients régionaux et des pratiques durables, ce qui réduit l’empreinte carbone de leurs produits. En optant pour ces alternatives, vous pouvez savourer l’été de manière rafraîchissante tout en contribuant à un mode de vie plus écoresponsable.

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